Sophie de Menthon a enfourché le cheval blanc du patronat. Surfant sur la vague vertueuse de la crise, la présidente de
l'association Ethic milite pour une plus grande transparence des rémunérations. En prenant souvent
le contre-pied du discours Medef/Afep. Ce mardi encore, dans Les Echos, elle traite les
patrons accros aux stock-options « d'alcooliques anonymes ». Rencontre. lire l'article de David Severnay de rue89 link
Ma réponse à l'article :
Sophie de menthon est ce qu'elle est un patron, à ce titre elle prêchera toujours pour sa paroisse.L'association ETHIC sous ces airs de vertu reste dans le camp des "gros CAC40". Mais à
esprit clair, esprit avisé, les raccourcis trop faciles entraînent des erreurs, tous les patrons ne sont pas des "profitateurs". Sympathisante NPA, je penche pour une autogestion de l'entreprise
par les salariés en partenariat avec leur patron, le conseil d'administration, en cas de très grosses entreprises, serait sous le contrôle d'un cabinet d'expert comptable nomé par une commission
indépendante.