Certains domaines doivent être considérés comme des biens publics communs et mondiaux : santé, éducation, eau, énergies, transports, télécommunications, poste, enfance et quatrième âge. Ils doivent être des services publics, gérés et contrôlés par les salarié-e-s et les usager-e-s dans l’unique objectif de satisfaire l’ensemble des besoins sociaux de toutes et de tous, à égalité d’accès et de prestations.
Le travail n'est pas une marchandise, les salarié-e-s ne sont pas des variables d'ajustement, les licenciements doivent être interdits sous peine de réquisition sans indemnités des entreprises qui licencient. Le salaire doit être maintenu en période de maladie, comme en période de chômage, à la retraite ou en formation, grâce à une protection sociale intégrale.
Pour nous la démocratie ne s’arrête pas à la porte des entreprises, c’est aux salarié-e-s de décider de leurs conditions et de leur organisation de travail.
Le travail tel qu’il est organisé aujourd’hui use et porte atteinte à la santé des salariés. Le chômage de masse ne profite qu’aux patrons : réduction et partage du temps de travail jusqu’à abolition du chômage.
L’écologie, le féminisme, les luttes LGBTI, l’antiracisme, l'antifascisme, l’internationalisme, la lutte contre toutes les formes de
discrimination et d’oppression, d’exclusion des personnes handicapées, des malades, la solidarité entre les générations ne sont pas des postures de seconde importance, mais sont au cœur de notre
projet.
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